L'histoire d'Izilbeth...

Arrivant au terme d’une marche éreintante dans les landes de sidimote  , Izilbeth, une jeune sadida,  à bout de souffle, regarda l’immense forteresse qui j’ahi devant elle et dit : "J'y suis arrivée !".

La forteresse était entièrement recouverte de métal Bleu et jaune. Un immense logo ornait la porte. Ce logo représentait un soleil en or sur un fond bleu azur.
Elle glissa un parchemin dans une énorme boite faite de bois, frappa à la porte puis ce téléporta loin de cette endroits lugubre. 

Salutation noble aventurier(e), j’aurais aimé partager l’histoire de la vie de ma sadida (Izilbeth) avec vous en espérant que vous m'acceptiez tel que je suis.

Tout commença sous une belle après-midi de martalo, j’étais encore qu’une petite sadida habitant avec mes parents berger, dans une maison situé dans un petit village en plein cœur des plaines de cania.

Toute notre petite famille était heureuse, papa  s’occupait des bouftous, maman nous concoctait un bon petit ragoût de corbac, moi je jouais avec mon petit frère Aron dans les champ voisins, tout allait bien dans le meilleur des mondes.

Quand tout à coup, le ciel s’assombrit, les oiseaux cessèrent de chanter, on entendait plus les bouftous ruminer, tout était devenu silencieux.

Aron : Que ce passe t’il Izilbeth ?

Izilbeth : Je ne sais pas ! Rentrons à la maison j’ai l’impression que quelque chose de grave est entrain de ce passer !

Aron, mon petit frère, et moi avons couru aussi vite que possible vers le village. 

Arrivée au village c’était l’horreur ! Tout était détruit. Les maisons brûlaient, les gens criaient et couraient dans tous les sens. Aron tétanisé par tant de haine, ce mis a sangloter et à pleurer. Je lui pris la main et couru jusque chez nous !
De retour chez moi j’entendis  des voix à travers la porte. Un inconnu parlait à mon père. Je pu distinguer quelques mots : Grande renne, Élue, Mourir…

Mon père qui avait senti ma présence derrière la porte ouvrit et là j’ai pu voir l’homme qui parlait avec mon père c’était un sacrieur vêtu d’une cape rouge brodé d’un symbole étrange ressemblant à un soleil jaune.

Le père : Ma fille, l’heure est grave on doit partir tout de suite Aron va rejoindre maman elle est en sécuritée avec les hommes commandés par ce noble sacrieur.

Aron me pris le bras et dit « NON, je reste avec Izilbeth ! »

Et à ce moment-là, dans la rue, une vois cria : « C’est ici ! ». Je vis alors un attroupement de zobals tous vêtus de noir et de rouge courir vers notre maison. On pouvait ressentir le mal émané de leur plastron.
Mon père me saisit le bras et me jeta derrière lui avec une violence non dissimulé, il courut ensuite vers les zobals et entama le combat. Le sacrieur ce tourna vers moi et me dit : « Sauvez vous princesse !»  Et de suite après, parti aider mon père.

Je courus alors le plus vite possible pour m’éloigner de la bataille. Arrivée au bout de la rue, je me retournai et vis mon père arrêter de combattre, se tourner en ma direction et d’un dernier regard sur moi il cria « TELEPORTATION » . Mon père, le sacri et les soldats noirs disparurent ! Choquée par ce qu'il venait de ce passer, je m’évanouis.


Quelques jours après, je me réveille dans un lit. J’ai encore les souvenirs de mon village en feu, des gens apeurés qui courent et surtout l’image de mon père me regardant avant de disparaître.

Je me lève, enfile de vieux habits trouvés au pied de ce lit, quand j’entend une voie familière ! C’est la voie d'Aron qui provient de la pièce d’accoté. Je m’y rend et le vois qui discute avec une vieille dame. Il me regarde et dit « Ha, Izilbeth est réveillée ! ». D’un air étonnée je lui demande si ce que l'on venait de vivre était purement un rêve de ma part. La vielle dame pris alors la parole : 

Vielle dame : Hélas non princesse, ce n’était pas un rêve.

Izilbeth : Que voulez-vous dire part là ?

Aron : Elle m’a tout expliqué Izilbeth ou dorénavant devrais-je t’appeler princesse ?

Izilbeth :Princesse? Je ne comprends pas pourquoi vous m’appelez comme ça ? Que s’est-il passé ? Qu’es ce qu’on fait la Aron ?

Vieille dame : Cela fait beaucoup de questions d’un seul coup jeune demoiselle. Je vais t’expliquer la cause de ce massacre qui s’est passé avant-hier dans ton village.

La vielle dame qui n’a pas sa langue dans sa poche m’explique absolument tout.

Parait-il je suis l’élue, la seule être pouvant tuer le roi zobal, Hartéus, qui fait régner un régime de terreur sur le monde des 12. Je suis la fille du grand maître sadida « Nécamelda » et es destinée à régner sur ce monde à la mort du roi. Ces hommes en noirs que j’ai vu le soir de l'horreur, étaient en faîtes la garde d'Hartéus et venaient en pour me tuer, afin d’éviter que je mette à bien ma destinée, qui est de tuer ce dernier, et devenir reine.

Après avoir écoutée la dame, je lui posa une dernière question :

Izilbeth : Et nos parents, que sont-il devenus ?

La vielle dame baissa la tête d’un air désolé.

Aron : Notre père est mort Izilbeth, il a était tué par les soldats en essayant de te sauver et notre mère a était kidnappée  par Hartéus en personne. Il la retient dans sa ville fortifiée de brakmar.

Sans dire un mot je cour vers la porte voulant porter secours à ma mère.  Je vis la Dame ce devant moi !

Vielle dame : Tu es trop jeune et pas encore assez forte pour pouvoir espérer battre le roi ! J’eu été maître sadida avant de laisser le pouvoir a ton père. Je t’enseignerais les techniques et pouvoirs naturels de notre classe pour que tu es une chance face à ton adversaire.


Durant des jours, des mois, des années, je m’entraînai presque jour et nuit.  La vielle dame m’enseigna alors l’art des ronces. La nature n’avait plus de secret pour moi.

Il m’arrive d’allée combattre au côté de l'armée rebelle face à la garde d'Hartéus. Je suis appréciées dans les groupes rebelle grâce à mes pouvoirs , mais aussi parce je manie le bâton comme pas deux. 

Vielle dame : A présent jeune apprentie, tu es prête pour affronter l’épreuve finale de ton entraînement. Attention, cette épreuve est très difficile. Dans mes apprentis, seul ton père s’en est sorti vivant !

L’épreuve consiste à marcher tout droit sur un chemin semé de pièges et d’ennemis plus féroces les uns des autres sans te faire avoir.

« C’est parti ! » dit la vielle dame.

Sûre de moi, je marche sur le chemin attentive à tout ce qui m’entoure, quand tout à coup, Une flèche géante fonce vers moi, « Invocation d'arbre !! » et la flèche vint s’écraser sur celui-ci. 
Un peu plus loin je vois des cartes enflammées sortir de terre se dirigeant tout droit vers moi « Larme ! ». Le feu s'éteingnis. Quelques mètres plus loin, un oiseau gigantesque me fonce droit dessus « A moi les ronce agressives !», l'oiseau vint ce fit gober par la ronces.
 

Après avoir réussie le test de la vielle dame, elle me fit réapparaître devant elle.

Vielle dame : tu es prête à combattre Izilbeth et à sauver ta mère de son emprise ! Mais avant de partir, viens avec moi j’ai quelque chose à te donner.

Je suis alors la vielle dame jusqu’à petite pièce sombre, avec comme seul ameublement, un coffre au milieu.

La vielle dame l’ouvris et je pu apercevoir un bâton noir et blanc à l’intérieur.

Vielle dame : Tiens prend ce bâton Izilbeth ! Il a appartenu à ton père qui l’a lui-même sculpté à partir d'os et entrailles d’un monstre terrible : le kolosso !


Muni de mon bâton je fait mes adieux à Aron et quitte la petite maison de la vielle femme.
Quelques mètres plus loin, je me suis arrêtée, me suis retournée pour regarder une dernière fois avant mon périple pour brakmar, mon petit frère et la vieille dame.

Je cour alors pendant des jours, traverse des fleuves et des mers, je tue des tofus et des bouftous sauvages pour me nourrir, je me câche dans des grottes pour dormir avec toujours la même pensée dans la tête : sauver ma mère et tuer Hartéus !








En espérant que ça vous plaira, la suite au prochain numéro

Ouah l'histoire de princesse et tout ^^ ! Tu te glorifie un peu je trouve, Princesse Izil :p Mais bon j'aime bien le principe je vais préparer la mienne  !

B'un wé normale